Dimanches 25 septembre, 2, 9 & 16 octobre
Le Festival d’Orgue de Mougins est un des rendez-vous incontournables des mélomanes, et des amateurs de l’instrument à tuyaux. Chaque année, au début de l’automne, il est toujours l’occasion de rencontres passionnantes autour d’un instrument remarquable.
Les quatre concerts proposés nous feront voyager au fil de répertoires variés – baroque, classique et jazz - tout en nous faisant découvrir des combinaisons sonores originales.
L’orgue de Saint-Jacques le Majeur sera rejoint par l’orgue Hammond, la flûte, le glassharmonica, les Ondes Martenot, mais aussi des chanteurs d’oiseaux !
Nul doute que cette édition 2022 sera source de nouveautés et de fééries sonores !
Olivier Vernet - Directeur artistique
Dimanche 25 septembre - 18h
Charles Balayer, orgue et orgue Hammond
« Bach, swingin' Bach »
Première partie : extraits des "Variations Goldberg" de Jean-Sébastien Bach à l’orgue.
Deuxième partie : improvisations sur des thèmes des périodes Baroque et Renaissance à l'orgue Hammond.
Dimanche 2 octobre -18h
Maude Gratton, orgue
Pierre Hamon, flûte
Jean Boucault et Johnny Rasse, chanteurs d’oiseaux
« L’Orgue et l’Oiseau »
Symbole de liberté ou d’inspiration divine, l’oiseau a toujours occupé une place particulière dans de nombreuses cultures. On observe son vol, on imite son chant.
Pour ce concert l’oiseau est la figure centrale d’un voyage poétique où l’improvisation reliera les musiques médiévales, les musiques de traditions amérindiennes ou des figures du répertoire classique.
Voix humaines, flûtes précolombiennes et orgue seront réunis autour du thème de l’oiseau.
Dimanche 9 octobre -18h
Jean-Cyrille Gandillet, orgue
Philippe Depétris, flûte
« Johann Sebastian Bach : chemins d’émotions »
Dimanche 16 octobre - 18h
Thierry Mechler, orgue
Thomas Bloch, Ondes Martenot et Glassharmonica
« Au gré des Ondes »
Il a fallu attendre 250 ans pour que germe l'idée de réunir l’Armonica de verre (ou "glassharmonica") dont on frotte les verres avec les doigts mouillés et l'orgue à tuyaux. Pourtant, Mozart, parmi d'autres, composa pour l'un et l'autre instrument. Il est aujourd'hui joué par moins d'une dizaine d'interprètes dans le monde. Presque aussi rare, les Ondes Martenot, l'un des premiers instruments électriques (1919) dont l'organiste et compositeur Olivier Messiaen fut un illustre parrain, restent souvent attachées au répertoire de l'étrange et trouvent naturellement leurs places à leurs côtés.